Noël

Fête le 25 Décembre

Et aussi ce jour  c'est Noël, la Sainte Emmanuelle, Manuella, Manuelle, Nelly, Noéline, Noëlla, Noëlle, Sophia, Sophie et la Saint Emmanuel, Manuel

Noël est la fête chrétienne qui célèbre la Nativité, c'est-à-dire la célébration qui rappelle la naissance de Jésus-Christ. La fête de Noël vient peu de temps après le solstice d'hiver boréal auquel elle est associée (voir ci-bas). La déchristianisation faisant, la fête de Noël est aujourd'hui coupée de son fondement religieux dans de nombreux pays occidentaux, mais elle y subsiste comme fête traditionnelle.

Instituée le 25 décembre au ive siècle et diffusée par la christianisation progressive de l'Europe et du bassin méditerranéen, cette fête de la Nativité prend peu à peu la place de différentes fêtes liées au solstice d'hiver (fête germanique de Yule, fête de Mithra, Saturnales romaines, etc.). Le Christ étant présenté comme le « soleil de justice » d'une nouvelle ère, sa naissance ouvre l'année liturgique chrétienne lors d'une messe de minuit ritualisée.

Le récit évangélique de la naissance de Jésus sert de base pendant des siècles à une grande richesse artistique (peinture, sculpture, musique, littérature) que renforce la diffusion populaire de la crèche au xiiie siècle, mais les ferments d'autres traditions liées au solstice ne disparaissent pas totalement. C'est ainsi que le sapin germano-nordique, signe d'une nature vivante malgré l'hiver, est honoré à partir du xvie siècle et gagne même les églises. Le sapin de Noël s'imposera comme symbole de la période des fêtes de fin d'année parallèlement à la déchristianisation de l'Europe à l'époque moderne.

La tradition du père Noël, qui se mondialise au xxe siècle, complétera cette évolution qui a ajouté une dimension profane à la fête chrétienne, plus orientée vers les enfants, les familles et des cadeaux.

Aujourd'hui, la fête de Noël s'est fortement sécularisée et n'est plus nécessairement célébrée comme une fête religieuse. Le jour de Noël est férié dans de nombreux pays, ce qui permet le regroupement familial autour d'un repas festif et l'échange de cadeaux. Le second jour de Noël (26 décembre) est également un jour férié dans plusieurs pays du nord de l'Europe (Pologne, Royaume-Uni, Pays-Bas, pays scandinaves) ainsi qu'en France, dans les trois départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de la Moselle. Cela permet également la participation aux messes de Noël pour ceux qui célèbrent la fête sous sa forme religieuse. Après Pâques, Noël est en effet la deuxième fête la plus importante du calendrier liturgique chrétien (la Nativité du Seigneur est une des Douze Grandes Fêtes orthodoxes). Noël est une des trois Nativités célébrées par l'Église catholique, les deux autres étant celle de Jean le Baptiste, le 24 juin, et celle de Marie, le 8 septembre.

La période entourant Noël est appelée « temps des fêtes » au Canada francophone et « fêtes de fin d'année » (ou plus simplement « les fêtes ») en Europe quand on y inclut les célébrations du Nouvel An. Depuis le milieu du xxe siècle, cette période voit diminuer son aspect chrétien cependant que reste vivante la tradition de la fête. Dans cet esprit, Noël prend une connotation folklorique, conservant le regroupement des cellules familiales autour d'un repas et l'échange de cadeaux autour du sapin traditionnel. Hors des foyers, elle donne lieu à l'illumination des rues, maisons et magasins et à l'organisation de marchés de Noël. C'est également une période importante sur le plan commercial.

Étymologie

Le mot Noël est attesté dès le xiie siècle. D'après le Trésor de la langue française informatisé, ses deux plus anciennes occurrences connues se trouvent, l'une (Noel) dans le Comput de Philippe de Thaon, daté de 1113 ou 1119 ; et l'autre (Naël) dans le Voyage de saint Brendan de Benedeit, daté du premier quart du xiie siècle

Le mot Noël partage la même étymologie que le terme équivalent dans la plupart des grandes langues romanes (italien natale ; occitan nadal, nadau ; catalan nadal ; portugais natal), ainsi qu'avec les langues celtiques, à savoir, l'adjectif latin natalis signifiant « de naissance, relatif à la naissance » (de natus « né »), d'abord associé au mot latin dies « jour » dans la locution natalis dies « jour de naissance » réduite à natalis par substantivation de cet adjectif en [natále(m)], utilisé en latin ecclésiastique pour désigner la Nativité du Christ.

Ensuite [natále(m)] va subir une évolution phonétique avec la chute du [e] final, l'allongement et la palatalisation du [a] tonique non entravé, puis lénition (sonorisation) en [d] du [t] intervocalique (d’où le provençal Nadal), fricatisation en [đ] puis amuïssement, donnant la forme Nael. Dans cette position, le [a] prétonique aurait dû s’affaiblir en e muet mais, dans un mot du vocabulaire religieux, soumis à des influences savantes, il y a eu effort pour le maintenir et, par dissimilation, il a abouti à [o]. Autrement dit, l’o de Noel, en face de Nael, est lié à la dissimilation des deux a de natal-, d'abord devenu *nadal (cf. occitan Nadau, Nadal, catalan Nadal « Noël »), ensuite *nathal, puis *naal, après la lénition de la consonne intervocalique [t], qui s'est finalement totalement amuïe en langue d’oïl (tout comme dans NATIVU > naïf, doublet de natif, emprunt savant, également MUTARE > muer, dérivé savant mutation, MATURU> mûr, savant mature, etc.). Il existe un cas parallèle jusqu'au stade du moyen français, à savoir celui du verbe noer signifiant « nager ». Dans la plupart des langues romanes, le latin natare (cf. natation) a donné l'espagnol, catalan et portugais nadar « nager », etc., alors qu'une forme notare a donné l'ancien français noer « nager » (morvandiau nouer, normand occidental nouer11). À noter que dans les parlers normands Noël se dit Noué ou Nouel.

C'est la seule étymologie admise aujourd'hui par les linguistes et les lexicographes.

En français standard, Noël se prononce [nɔɛl] et le tréma sur le e : ë, apparu en 1718, note la diérèse. Les prononciations dialectales [nwεl] et [nwal] sont attestées.

Nom propre de la fête chrétienne de la nativité du Christ, Noël prend une majuscule à l'initiale, majuscule qu'il conserve au pluriel. Le substantif Noël est masculin ; mais, probablement par ellipse de fête de, il est féminin lorsqu'il est employé avec l'article défini singulier : la, et sans épithète ni complément.

Les langues celtiques possèdent un terme issu d'un étymon commun, comme le français et d'autres langues romanes, c'est-à-dire le latin natalis également, ce qui donne en brittonique : le cornique Nadelik, le gallois Nadolig et le breton Nedeleg (cf. patronyme Nédélec), sur un radical commun *Nadal-, avec lénition [t] > [d], suivi d'un suffixe brittonique. Le gaélique (irlandais et écossais) possède une forme Nollaig, dans laquelle l'amuïssement de l'intervocalique s'est effectué de la même manière qu'en français.

En revanche, les langues germaniques recourent à divers étymons pour désigner cette fête. L'anglais Christmas remonte à un vieil anglais attesté tardivement crīstes mæsse, l'ancien anglais mæsse ayant selon le site Oxford living Dictionaries édité par Oxford University Press sens de « célébration ». En allemand, Noël se dit Weihnachten et repose sur un ancien datif pluriel dans l'expression en vieux haut allemand ze wîhen nachten « dans les nuits sacrées », d'où wîhennachten > Weihnachten qui date de l'époque du paganisme germanique, où l'on organisait des fêtes sacrées les nuits d'hiver autour du solstice. On trouve cette même transposition d'une fête païenne à une fête chrétienne chez les peuples scandinaves dans le terme qui signifie Noël : islandais jól, norvégien, suédois, danois jul ; aussi finnois (par emprunt) joulu. Le même étymon proto-germanique *jehwlą a donné le vieil anglais ġeohol, ġēol, d'où l'anglais yule. L'ancien français jolif « gai, joyeux, plaisant, sensuel, élégant »> joli représente un dérivé de jól à l'aide du suffixe -if.

De sorte que, même si l'origine ultime du mot français Noël est effectivement liée au concept de la « renaissance » du soleil lors du solstice d'hiver, cette étymologie n'est due ni au celtique, ni au germanique, mais bien au latin. Elle provient sans doute de la fête de la Nativité du Christ, dans laquelle le natalis lié au culte romain du Sol Invictus (la fête officielle du dies natalis solis invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu ») est extrait de son contexte païen pour prendre une signification chrétienne.

Origines

Bien avant l'apparition du christianisme, la saison froide était déjà une période charnière de l'année. En effet, la Terre effectue une rotation autour du soleil en 365 jours. Elle tourne également sur elle-même selon un axe incliné d’environ 23°5. Elle n’est donc pas exposée de la même façon au soleil toute l’année. Cela explique l’alternance des saisons. En été, l’hémisphère Nord bénéficie d’un ensoleillement important. Le solstice d'été (21 juin) est le jour le plus long de l’année. A partir de là, les jours vont décroître. Pendant l'hiver, cette partie est moins éclairée. Le solstice d'hiver (21 décembre) est le jour le plus court de l’année. De cette date, les jours commencent à s’allonger. Les Hommes, ayant observé ce phénomène, ont imputé cela aux divinités. La symbolique de cette renaissance de la nature au printemps a incité les peuples à leur rendre hommage. On dénombrait ainsi de nombreuses croyances païennes relatives à la fertilité, la maternité et la procréation. Cela donnait donc lieu à de nombreuses manifestations.

Ces traditions antiques ont de nombreux points de similitude avec la fête chrétienne. Les chrétiens ont ainsi progressivement réussi à s'approprier les cultures environnantes qui sont devenues partie prenante de leur identité et qui finalement ont évolué sous l'effet du syncrétisme et de la christianisation de la société antique, phénomène connu des historiens sous le nom d'interpretatio christiana (en) (« interprétation chrétienne »).

Fixation du jour de Noël

Avant la christianisation de l'Occident, une fête appelée Dies Natalis Solis Invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu » avait été fixée au 25 décembre par l'empereur romain Aurélien en 274, comme grande fête du culte de Sol Invictus (le soleil invaincu). Aurélien choisit ainsi une date proche du solstice d'hiver, correspondant au lendemain de la fin des traditionnelles Saturnales romaines mais aussi au jour où la naissance de la divinité solaire Mithra est fêtée. Aurélien souhaite en effet unifier religieusement l'empire, en choisissant cette date, il contente les adeptes de Sol Invictus et du culte de Mithra tout en plaçant la fête dans la continuité des festivités traditionnelles romaines.

Premières célébrations

Pendant les trois premiers siècles de son existence, l’Église chrétienne ne s'est pas préoccupée de célébrer l'anniversaire de la naissance de Jésus-Christ dont elle ignorait d'ailleurs la date.

La première mention d'une célébration chrétienne un 25 décembre date de l'an 336 à Rome. Le christianisme devient ainsi à son tour un des cultes et religions de l'Empire romain célébrant une festivité pendant cette période de l'année. L'anniversaire de la naissance de Jésus étant inconnu, il est très probable que le 25 décembre ait été choisi afin d'adopter les coutumes liées à cette date « en leur donnant un sens nouveau ». D'autre part, selon certains, il est possible qu'un texte attribué à Hippolyte de Rome en 204 ait inspiré le choix de la date.

Saint Noël


Etymologie : Ce prénom est d'origine arabe et latin et il signifie « jour de la naissance ».

Personnalité : Noël laisse poindre une personnalité intrépide. Déterminé, Noël est en demande de dynamisme dans son quotidien et il est audacieux. Il est persévérant, et parfois, Noël se montre un peu têtu. Il aime se lancer des challenges, et jouer le tout pour le tout pour atteindre les objectifs qu'il se fixe. Enfant, les activités compétitives ou sportives rythment la vie de Noël, qui n'aime pas la routine et qui a besoin de prendre des risques. Sachez qu'il prend un grand plaisir à y participer. Il faut le ramener à la raison, cela lui permet de s'accommoder de sa tendance à se précipiter, et être là pour encadrer les activités, pour qu'il apprenne à connaître ses limites.

Source : parents.fr

Numérologie 


Noël = 5 + 6 + 5 + 3  = 19 = 1 + 9 = 10 = 1 + 0 = 1



N

 

Son classement typologique :

Lettre cérébrale et oscillante. Elle correspond au registre des pensées, du mental. Imprévisible elle suit plusieurs directions à la fois et ne se manifeste jamais où on l’attend.

Elle passe rapidement du mental au physique. Cela entraîne un dynamisme et des réactions rapides, de la mobilité et un tempérament insaisissable.

 

Les vibrations qu’il émet favorisent l’adaptation mentale et raisonnement rapide. Jamais à court d’argument. Du mouvement, du changement, une bonne énergie. L’approche analytique et scientifique des phénomènes.

Mais il peut aussi amener à l’hésitation, l’inquiétude, à la culpabilité. A trop vouloir rester disponible, risque de se faire exploiter par autrui.

 

Lorsqu’il est en position initiale du prénom on y retrouve une exigence mentale, le sens de la critique. Ouverture vers la communication mais tout en restant sur ses gardes et ne se livrant pas intimement. La polyvalence et l’intéressement pour toutes les nouvelles recherches.

  

 

N est associé au nombre 5 :

Ce nombre représente la capacité de changer et de bouger.


Les professions associées à cette symbolique : toutes les professions qui amène une liberté, le commerce, activité de plaisir…


    

 Lettre N en initiale (forces) : vous êtes à l'aise en société et vous tenez à votre autonomie en tout domaine.

Lettre O en 2ème lettre (faiblesses) :  vos émotions débordent et attention aux attitudes à tendance obsessionnelle.

Lettre E en 3ème lettre (atouts pour réussir) : votre charme, votre persuasion, votre adaptation.

Lettre L en dernière lettre (réactions face à un problème) : vous prenez la mesure des choses et vous agissez avec réflexion et compréhension. Peut- être attendez- vous un peu trop des autres.


Le 1 est affirmation de soi, énergie active, direction, création et inspiration; invention, nervosité, opportunisme.

Vous cherchez à vous réaliser le plus possible par vous- même. Chez vous, l'énergie et la volonté sont particulièrement présentes. Soyez plus souple dans vos relations privées car vous avez tendance à dominer l'autre. Votre tendance à l'égocentrisme est à surveiller ainsi que le fait que vous ne vous embarrassiez parfois pas de détails.


Sous- nombre du prénom : 19

Vous êtes dynamique et enthousiaste. Vous voulez faire une place au soleil et refusez de vous laisser dominer par autrui.

Vous pouvez exercer des responsabilités ou diriger une équipe en allant au bout de vos objectifs. 

Votre orgueil peut vous jouer des tours mais votre force de persuasion reste un atout important.

Vous êtes idéaliste en amour et recherchez avant tout une personne de qualité avec qui la relation pourra durer.

Source : Décodez votre prénom de Jean- Daniel Fermier